18 janvier : Sainte Marguerite de Hongrie.
Planquez les gosses, parce que, là, on va sombrer dans le masochisme… Marguerite, ça fait printanier comme prénom, mais les dessous de Marguerite, si j’ose dire, c’est un brin moins affriolant…
A 19 ans, elle est entrée au couvent.
Etienne, son frangin qu’était Roi du patelin, lui envoyait des sous pour maintenir son standing. Et bien non, elle n’en voulait pas et filait tout aux pauvres.
Vous je sais pas, mais à l’école privée, quand j’étais gosse, les bonnes sœurs (et en particulier Sœur Dominique) nous apprenaient sans rire qu’il ne faut pas donner d’argent aux pauvres, parce que, comme ils n’en ont pas l’habitude d’en avoir, ils font n’importe quoi avec, et le plus souvent ils le boivent (euh, je parle de ça, c’était pas au moyen-âge, c’était dans les années 1970… heureusement que j’étais assez tôt réfractaire à la bêtise humaine !)
Non contente de ça, la Marguerite, elle passait son temps à se flageller avec des cordes, car elle voulait porter sur son corps les mêmes plaies que le Christ.
Alors, moi, je trouve quand même que sanctifier de tels comportements, c’est un peu douteux comme exemple pour la jeunesse…
M’enfin, je ne suis pas pape non plus, et y a peut-être des éléments qui m’échappent…
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